L'avortement, quelle est votre opinion

J'aimerai connaitre votre opinion sur l'avortement.
Pour vous cela est-il un crime ? Tuons-nous un futur enfant ou juste un embryon ?
Que pensez-vous des femmes qui regrettent après coup de l'avoir fait et qui même dix ans après ne se sont jamais pardonner de l'avoir fait?

merci de me répondre

Je suis pour que cette possibilité existe, sous forme de choix pas de façon imposée.

Pratiquée dans les premiers mois de la grossesse, je ne considère pas que cela soit un crime, donc pour moi on ne supprime pas un enfant, mais un embryon.

Je ne suis pas d'accord moralement avec celles qui le considérerais comme un moyen de contraception, c'est à dire qui ne prendraient aucunes précaution mais qui avorterait si elle tombait enceinte, et cela à répétition.

Plus tard dans la grossesse, je trouve plus rude, moralement pour celle qui le subit. Si l'enfant est développé et quasi serait viable hors le corps de sa mère, j'avoue que j'ai plus de peine, sauf si l'avortement est alros pratiqué pour raisons thérapeuthiques (malformations graves de l'embryon).

Pour ce qui est de celles qui regrettent 10 ans après le choix qu'elles ont fait, je dirais que c'est un peu comme tous les choix de vie, on doit assumer nos actes. On pense tous et toutes à ce que nos vies pourraient être si on avait pris d'autres décision, néanmoins on ne peut remonter le temps... donc je préconnise une réflexion approfondie et un choix libre et éclairé. Je pense que l'on regrette moins les choses que l'on a choisies clairement et librement, pour soi et pas pour les autres.

Remarque: combien de femmes regrettent leur vie en n'ayant pas pu avorter. Exemple, une jeune fille de 15 ans que l'on empêcherait d'avorter suite à un viol et qui doit élever son enfant.

Si l'on m'oppose que la grossesse peut être menée à son terme et l'enfant abandonné en vue d'adoption, je trouverais personnellement plus dur de savoir qu'il y a un bout de moi quelque part sur la planète dont je ne sais pas s'il est heureux ou malheureux et que je n'ai pas assumé que de savoir qu'alors que je n'étais pas prête et apte à assumer, j'ai fait un avortement et que l'amas de cellules qui aurait pû se développer dans mon corps n'a pas pu le faire.

Sinon, on peut encore pousser plus loin, en se demandant s'il n'est pas moralement répréhensible d'utiliser une forme quelconque de contraception et d'enlever la chance qu'auraient nos ovules d'être fécondés et de nidifier...

je ne dirais pas mieux que sioban

Trop de femmes considèrent l'avortement comme une méthode de contraception. Un accident, ça arrive; déjà deux ou trois, on se pose des questions. D'autant plus qu'avec l'arrivée de la pillule abortive (type RU 486), c'est devenu beaucoup plus simple physiquement, et certaines ont tendance à en abuser. Ca me choque toujours de lire des témoignages de femmes qui disent "la première fois, ça a été dur, mais après avec la pillule qu'on peut prendre à la maison..." J'suis peut-être un peu vieille France, comme on dit chez nous.

Le reste, je dis comme Hihihi, Sioban dit très bien les choses.

Pour être originale :D je rejoins l'équipe du dessus. Je suis pour des raisons médicales ou des situations extrêmes. Les accidents me font rire bien que ce ne soit pas drôle, parce qu'aujourd'hui on peut les éviter dans 90 % des cas. Donc c'est souvent un désir inconscient.
Pour en revenir à l'avortement, je n'aime pas ce terme, je préfère interuption de grossesse, je pense qu'un cadre important doit être mis en place.

Quant à regretter, ... c'est très personnel ! J'ai subi une ITG pour cause de grave malformation et je ne regrette pas mon choix mais comme dit Sio c'est comme n'importe lequel !

Je vais malheureusement pas être très original mais je vais me joindre aux filles je ne peut pas mieux dire

merci de vos réponses

et bien moi je suis foncierement contre. Pour moi un embryon c'est quand même une vie, et je ne suis pas du tout pour l'avortement.

On fait l'amour, on se protège pas ou peu, hop un bébé et on assume pas. je trouve que les gens sont trop souvent irresponsable face à l'act de l'amour.
la vie on joue pas avec.

Gallia

avant d'etre un jeu, faire l'amour est d'abord un besoin .

je prefere un embryon avorte qu'un enfant rejete!

un besoin ?? non je suis pas d'accord. Manger, boire oui, c'est vital, mais faire l'amour y'a des moments pour, et d'autres pas. y'a quand meme des tas de moyens de se proteger aujourd'hui, alors non, je trouve tres irrespectueux au regard de la vie d'avorter.

g.

comme cela a été dit plus haut je ne peut pas concevoir ça comme une solution a un manque de protection mais dans le cas ou la femme a été violé par exemple l'enfant risque de devenir le souvenir de ce viol et d'être rejeter... ou l'avortement térapeutique si il y a malformation

Nécessaire selon les situations.

J'en ai déjà eu trois et heureusement que ça existe.

Gallia, le jour où tu te feras violer, tu changeras d'avis tu verras !

pour pour et re pour, viol pas viol, désir pas désir etc. Pour moi, l'embryon avant l'expiration du délai légal de l'avortement est une partie du corps de la femme, elle a le droit d'en décider.... sous pilule (selon les types), nous avortons souvent tous les mois. Faut arréter de considérer un embryon de moins de 3 mois comme un être humain... le bébé est dans la tête de ceux qui l'ont voulu à ce stade. Je comprends la souffrance d'un couple vivant une fausse couche, même trés tôt. Il faut faire le deuil de cet enfant qu'on a rêvé. Mais c'est tout...

oui je considère l'embryon comme un enfant à part entière.

Citation :

y'a quand meme des tas de moyens de se proteger aujourd'hui, alors non, je trouve tres irrespectueux au regard de la vie d'avorter.

Cite moi en une seule à 100 % efficace hormis l'abstinence ?

Je reviens demain.

Eowen a écrit:

pour pour et re pour, viol pas viol, désir pas désir etc. Pour moi, l'embryon avant l'expiration du délai légal de l'avortement est une partie du corps de la femme, elle a le droit d'en décider.... sous pilule (selon les types), nous avortons souvent tous les mois. Faut arréter de considérer un embryon de moins de 3 mois comme un être humain... le bébé est dans la tête de ceux qui l'ont voulu à ce stade. Je comprends la souffrance d'un couple vivant une fausse couche, même trés tôt. Il faut faire le deuil de cet enfant qu'on a rêvé. Mais c'est tout...

Je suis d'accord, avant trois mois ce n'est qu'un embryon.
Ayant vécu les deux : avortement et fausse couches, dans les deux cas il faut faire le deuil d'un futur enfant.
Mais le deuil n'est pas le même, la fausse couche est pour un enfant désiré tandis que l'avortement est pour un imprevu.
Je cupabilise pour les deux:
l'avortement car je me suis auto persuader de le faire
la fausse couche car je me suis dit qu'on me punissait d'avoir avorter, lorsque ma fille & mon fils sont nés, j'ai fait des crises de tachycardie car j'avais peur qu'il arrive un malheur à mes enfants.
Lorsque mon fils est né 1 mois 1/2 avant & qu'il a eu 1 pulmothorax j'ai cupabiliser car je voyais un autre signe pour me punir de l'avoir fait

si un jour je me fais violer, je peux vous garantir que je garde l'enfant.
ensuite, meme si les techniques de contraceptions ne sont pas à 100 % sûre, et bien c'est un risque à courir. mais bon entre les pilules, le preservatif, les périodes d'ovulations à respecter, etc etc......

ensuite pour moi se donner de l'amour physique, ben y'a pas que la pénétration + éjaculation ! y'a quand même plein d'autres facon de se faire plaisir non ???? Oh et puis puisque le monde marche qu'à ça de toute façon, finalement ça sert à quoi de discuter.....

vive le sexe, le reste on s'en fout, tant qu'on retire du plaisir hein...

et bien moi je suis pas d'accord et c'est tout. et je le ferais jamais. apres, chaun est libre avec sa conscience, et ses choix.

Entre se dire que pour soi-même il n'y aura jamais question d'avortement pour x raisons, je peux le comprendre.

Mais est-ce que l'on peut/doit interdire aux autres le droit de le faire sur eux et/ou aux médecins de le pratiquer?

Merci à ceux et celles qui ont dit que pour leur cas personnel il ne serait jamais question d'avortement de développer sur mon deuxième paragraphe.

Gallia a écrit:

si un jour je me fais violer, je peux vous garantir que je garde l'enfant.
ensuite, meme si les techniques de contraceptions ne sont pas à 100 % sûre, et bien c'est un risque à courir. mais bon entre les pilules, le preservatif, les périodes d'ovulations à respecter, etc etc......

ensuite pour moi se donner de l'amour physique, ben y'a pas que la pénétration + éjaculation ! y'a quand même plein d'autres facon de se faire plaisir non ???? Oh et puis puisque le monde marche qu'à ça de toute façon, finalement ça sert à quoi de discuter.....

vive le sexe, le reste on s'en fout, tant qu'on retire du plaisir hein...

et bien moi je suis pas d'accord et c'est tout. et je le ferais jamais. apres, chaun est libre avec sa conscience, et ses choix.

Corriges moi si je me trompes mais serais tu en train de prétendre que finalement les femmes qui avortent sont celles qui finalement considère le sexe comme un des besoins de la vie ? Pour toi le fait de pratiquer un jour dans sa vie l'avortement est directement lié à la vision de sexualité ?

En caricature : la fille facile se fait avorter, la femme fidèle mariée vierge ne le fera jamais ?

2.- t'es tu déjà trouvée dans une situation de grossesse non désirée ou problématique pour pouvoir assurer que tu ne le feras jamais ?

Citation :

Mais est-ce que l'on peut/doit interdire aux autres le droit de le faire sur eux et/ou aux médecins de le pratiquer?

Je considère moi personnellement que ceux qui pensent qu'on doit prohiber l'avortement sont soit très mal informé soit franchement criminelle !

Citation :

si un jour je me fais violer, je peux vous garantir que je garde l'enfant.

je comprends ... si ca m'arrivait, je ne suis pas sure non plus que j'avorterais

Citation :

ensuite, meme si les techniques de contraceptions ne sont pas à 100 % sûre, et bien c'est un risque à courir. mais bon entre les pilules, le preservatif, les périodes d'ovulations à respecter, etc etc......

comme tu dis le 100% n'existe malheureusement pas

Citation :

ensuite pour moi se donner de l'amour physique, ben y'a pas que la pénétration + éjaculation ! y'a quand même plein d'autres facon de se faire plaisir non ????

oh oui tu as bien raison ... miam, miam ,miam

Citation :

Oh et puis puisque le monde marche qu'à ça de toute façon, finalement ça sert à quoi de discuter.....

pas "qu'a ca" ,mais a ca aussi ... et la discussion ben quand malheureusement ca fait pas plaisir , ca nous oblige quand-meme a mettre un peu d'ordre dans nos idees , la discussion c'est toujours au moins une aide menagere quoi!

Citation :

vive le sexe, le reste on s'en fout, tant qu'on retire du plaisir hein...

euh ... ca je pense que c'est specifique aux dependants sexuels pour qui le sexe est une drogue ... dure (pas pu m'en empecher, sorry)

Citation :

et bien moi je suis pas d'accord et c'est tout. et je le ferais jamais. apres, chaun est libre avec sa conscience, et ses choix.

j'espere ne jamais me retrouver devant ce choix, et je suis d'accord ... a chacun ses choix.

Citation :

Mais est-ce que l'on peut/doit interdire aux autres le droit de le faire sur eux et/ou aux médecins de le pratiquer?

non.
a chacun le droit de ses choix.

Comme l'adoption, l'euthanasie ou l'homoparentalité, c'est un problème à la fois très intime, à chaque fois unique et complexe, et un problème de société.

Pour moi, il faut distinguer, et ne pas mélanger dans la discussion ces deux dimensions :
- les sentiments, le vécu et les choix personnels face à cet acte, en tant que décision individuelle ou de couple
- les questionnements et convictions personnels, sur l'avortement en tant que phénomène de société, geste médical régit légalement


Pour ma part:
- j'ai vécu plusieurs fois la situation du "on le garde ou pas?" avec une partenaire. J'en garde le sentiment que d'avoir des moyens (médicaux) oblige parfois à se poser des questions qui seraient superflues s'ils n'existaient pas. La possibilité du choix contraint au choix. Par exemple, la pilue étant extrèmement répendue, la question qui se pose aujourd'hui aux couple semble de moins en moins "comment ne pas avoir d'enfant" que "quand allons nous nous sentir prêts à arrêter la pilule ?". Le choix de l'enfant devient un choix "négatif", parce que renoncement aux moyens, vus "normaux", de ne pas en avoir. Si l'avortement était interdit, je pense que moins de gens auraient répondu à mon annonce "XY est enceinte" par "vous allez le garder ?". Et ça, ça aurait pu changer notre choix.
En tous les cas, un tel choix, n'est, pour moi, jamais facile. La pilule du lendemain provoque des nausées voir des vomissement dans 1/4 voir la moitié des cas. Une IVG plus tardive avec curetage ne doit pas être particulièrement agréable non plus. Je me demande, d'ailleurs, si ces "femmes qui ont avorté 32 fois" ne sont pas un mythe urbain. L'arbre qui cache la forêt. Une foret de petits couples amoureux, mais encore frais, jeunes, indécis, qui se sont aimés, rêveraient surmement quelque part de pouponner, mais cauchemarderaient plus encore de devenir parents de vrais enfants, qu'ils sont encore un peu. Illustration:

Forum doctissimo a écrit:

salu a tous, jai un peti problem,avc mon copin on avai trè envi de fair lamour mai il navai pa de préservatif!on s'est bocou froté lun contr lotr (il s'est vraimen raproché mai ne ma pa pénétré,dumoin je ne croi pa!) et depui kelk jour jai toultemp envi de vomir jai mal o ventr(ver les ovair il me sembl) je ne me sen vraimen pa bien!! jme sui di ke javai surmen une gastro mai mon copin me di ke c louch ke sa mariv juste apré kon è fai ca! il ma di ke je pouvai etr enceinte!!! JAI TRO PEUR!! pouvé vou méclairé?c possibl?une de mes copine ma di kon pouvai tombé enceinte rien ken se frotan ( c ce ke lui orai di une assitante sociale!!!) aidé moi svp merci

- sexualité et reproductions sont et resteront liés à jamais. Les organes génitaux sont conçus pour celà. Mais la question qui se pose est de savoir dans quelle mesure ils sont liés; s'ils ne sont fait que pour celà, aussi pour ça, ou s'ils peuvent être considérés, temporairement, comme étant totalement séparé de cela. Par exemple, une prostituée vend-elle son vagin et/ou sa matrice ? Peut-on reprocher à une fille de 15 ans de prendre la pilule du lendemain si la capote de son copain, lors de sa premire relation, à craqué ? Expérimentaient-ils la sexualité et/ou la reproduction ? Une femme ne doit elle accepter d'avoir des rapports qu'avec des hommes qu'elle pourrait accepter comme père de ses enfants et/ou si elle est à même de pourvoir, dans les 9 mois, à l'entretien d'une famille (monoparentale) ? En clair, le droit à la vie de l'embryon est-il plus fort que le droit à la sexualité sans reproduction de sa mère ?

- je ne sais pas où commence la vie. Je ne sais pas ce qui est la meilleure façon de la respecter. Mais je ne pense pas qu'il soit très respecteux de la vie et de l'enfant à venir que d'obliger une femme qui utilise l'avortement comme moyen de contraception de garder en enfant pour la "punir" ou la responsabiliser. Faire d'un enfant une punition ou un fardeau avant même sa naissance est innacceptable pour moi. Même s'il existe de si nombreux cas d'enfants non planifiés qui ont finalement été très aimés, le risque me parait trop grand. Et j'ai d'énormes réserves concernant l'adoption, ayant plusieurs amis adoptés qui l'ont très mal vécu.

- dans un monde idéal, le respect serait le cadre de toutes les actions. Les viols n'existeraient pas. Les enfants seraient tous souhaités. Les foeutus seraient tous parfaits ou auraient des parents prêts à recevoir un enfant handicapé. Et les parties de jambes en l'air entre partenaires sexuels occasionnels adultes et consentants n'aboutiraient jamais sur une grossesse non désirée. Dans ce monde idéal, l'avortement, qui n'est pas intrinsèquement "bon" à mes yeux, n'aurait pas lieu d'être.

Mais nous ne vivons pas dans ce monde là. Alors, pour moi, l'avortement est un moyen, parfois, d'aténuer ce mal. Mais parce que la limite est toujours floue, il y a des cas d'avortement que l'on regrette, et des enfants gardés qui souffrent et font souffrir, peut-être trop. C'est le prix à payer pour ce choix que nous offrons, enfin, aux femmes qui ne peuvent plus acceuillir un 13ème enfant dans une famille misérieuse, de ne plus devoir s'enfoncer des aiguilles à tricotter dans la martice.


Bref, je pense que l'avortement est un acte grave, sérieux, qui ne devrait pas être fait à la légère. Je pense qu'il est indispensable de fixer des limites légales à sa pratique, et qu'il serait peut-être bien de mettre en place un système d'encadrement psycho-social meilleur que l'actuel pour celles qui en aurait besoin. Je comprends que l'on puisse être attristé par tout avortement, quelqu'en soient les circonstances. Mais que d'interdire ou de condamner tout avortement, quelqu'il soit, ne va pas dans le sens du respect de l'autre et de la vie.

Hobbes a écrit:

...

- sexualité et reproductions sont et resteront liés à jamais. Les organes génitaux sont conçus pour celà. Mais la question qui se pose est de savoir dans quelle mesure ils sont liés; s'ils ne sont fait que pour celà, aussi pour ça, ou s'ils peuvent être considérés, temporairement, comme étant totalement séparé de cela. Par exemple, une prostituée vend-elle son vagin et/ou sa matrice ? Peut-on reprocher à une fille de 15 ans de prendre la pilule du lendemain si la capote de son copain, lors de sa premire relation, à craqué ? Expérimentaient-ils la sexualité et/ou la reproduction ? Une femme ne doit elle accepter d'avoir des rapports qu'avec des hommes qu'elle pourrait accepter comme père de ses enfants et/ou si elle est à même de pourvoir, dans les 9 mois, à l'entretien d'une famille (monoparentale) ? En clair, le droit à la vie de l'embryon est-il plus fort que le droit à la sexualité sans reproduction de sa mère ?
...
.

Citation :

Pour ma part:
- j'ai vécu plusieurs fois la situation du "on le garde ou pas?" avec une partenaire.

moi je m'interroge quand même, plusieurs fois pour moi ça me donne un sentiment de presque "souvent" style au moins 4-5 fois.

Quand ca arrive plusieurs fois y a t il un problème d'utilisation de contraception ou de responsabilisation face à cela ?

Et puis :

Citation :

Si l'avortement était interdit, je pense que moins de gens auraient répondu à mon annonce "XY est enceinte" par "vous allez le garder ?". Et ça, ça aurait pu changer notre choix.

Ha bon ? mais quelle choix ? c'est pas un peu de la déresponsabilisation ça ?

Ta manière de l'annoncer aurait peut être fais passer des numéros de tél. sous le manteau ou des : "si tu veux je connais quelqu'un..."

Apres discussions avec ma tête, et hobbes, je vais preciser ma pensée, ainsi que son cheminement depuis 2 jours :

je suis contre l'avortement, dans sa vision globale. Ensuite c'est vrai que comme dans tout probleme il peut y avoir des exceptions, comme par exemple dans le cas ou la vie de la mère peut être mise sérieusement en danger, dans des cas de maladies grave du bébé, ou de la mère. Là il faut effectivement faire un choix, dans la logique de la vie, et de la nature. Très dur...

Ce que je deteste en fait, c'est comme a dit Hobbes, c'est la banalisation de la chose, et que ce ne soit plus la solution du dernier recours, mais au contraire une des premières que souvent on propose à la femme, ou au couple.

Mais je maintiens que l'amour, et surtout la création de la vie est une chose merveilleuse et magique et que ce pouvoir de la nature, que deux personnes ont en faisant l'amour et trop souvent prit à la légère, dans un unique but de plaisir, sans forcement penser aux conséquences, et ça, c'est grave à mon sens.

sinon je voulais vous remercier de pas m'avoir tapé à cause de mon premier message un peu .... pas sympa, (trouve pas le mot juste) car j'avais passé une soirée vraiment stressante et fatiguante et je me suis laissée emporter. Sur un autre site je me serais fais lyncher illico et pour moi c'est la preuve par A + B que ce site est génial et dans le respect de la personne et de ses dires !



Gallia

bisous douceur et petites fleurs pour gallia

merci gallia