On écrit une histoire?

La fuegas se réveillait à côté de Salmita qui lui criait qu'elle avait faim...que c'était il passé...son dernier souvenir était grotesque....il avait sans doute rêver, mais vu que la fille de son rêve se trouvait à ses côtés...

Ferais mieux de cesser ces cochoneries de ptite pillule du bonheur moi, ca me convient pas.

Bon, je connais un ptit restau très sympa : chateau vieux (ca va péter mon budget ça), ca te tente où tu préfère une pizza ou un chinois ?

Zoran décida d'aller voir Armand Bondrard chez lui.....

leyas a écrit:

Zoran décida d'aller voir Armand Bondrard chez lui.....

chez lui?
mais ... il est plus au sol, gisant dans l'inconscience?

salimata decida de suivre zoran pour tirer au clair ce mystere de bilocation ... armand bondrard aurait-il des pouvoirs ?

de la fueg, qu'est-ce que tu me chantes?y a pas 2 minutes, tu voulais m'egorger et maintenant tu m'offres le resto?

a moins que ... tes pillules de bonheur t'aient tellemnt bouffer le cerveau que tu as oublie les coordonees de ton compte a numeros

hihihi a écrit:

leyas a écrit:

Zoran décida d'aller voir Armand Bondrard chez lui.....

chez lui?
mais ... il est plus au sol, gisant dans l'inconscience?

J'suis pas sencé savoir moi...

leyas a écrit:

hihihi a écrit:

leyas a écrit:

Zoran décida d'aller voir Armand Bondrard chez lui.....

chez lui?
mais ... il est plus au sol, gisant dans l'inconscience?

J'suis pas sencé savoir moi...

pourquoi? t'es aveugle?

hihihi a écrit:

leyas a écrit:

hihihi a écrit:

leyas a écrit:

Zoran décida d'aller voir Armand Bondrard chez lui.....

chez lui?
mais ... il est plus au sol, gisant dans l'inconscience?

J'suis pas sencé savoir moi...

pourquoi? t'es aveugle?

non je n'le connais pas personellement

leyas a écrit:

hihihi a écrit:

leyas a écrit:

hihihi a écrit:

leyas a écrit:

Zoran décida d'aller voir Armand Bondrard chez lui.....

chez lui?
mais ... il est plus au sol, gisant dans l'inconscience?

J'suis pas sencé savoir moi...

pourquoi? t'es aveugle?

non je n'le connais pas personellement

ah ouais d'accord ... alorsje reprends


salimata entendant grommeler le barbu eclate de rire et se dit qu'elle va jouer un tour a ce vieux zoran ...
leste comme la gazelle (oui, oui je sais que j'ai des cuisses de cheval et des fesses d'elephant ... mais j'ai quand-meme la lestete de la gazelle, et oui), leste telle une gazelle, donc, salimata s'elance vers le vieux, le ramasse et l'engouffre dans le bahut du fribourgeois qui compte ses chiklettes, et demarre au quart de tour avant de disparaitre en vrombe dans le soleil couchant

Hobbes a écrit:

Deux jours plus tard:

"T'aurais pas loupé ça la tortue ?" s'inscrivait ce matin là sur tous les panneaux publicitaires qui faisaient campagne pour le port de la ceinture de sécurité en ville, montrant une tortue à roulette sur les Champs Elysées.

Hobbes a écrit:

Hobbes a écrit:

Deux jours plus tard:

"T'aurais pas loupé ça la tortue ?" s'inscrivait ce matin là sur tous les panneaux publicitaires qui faisaient campagne pour le port de la ceinture de sécurité en ville, montrant une tortue à roulette sur les Champs Elysées.

Le chauffeur se réveillait dans un lit d'hôpital. Le première chose qu'il senti, après son pouls qui tappait dans son crâne comme un toxin, fut un bandage sur son nez. Il ouvrit les yeux et vit une infirmière, de dos, qui tenait un plateau.

A la vue de son joli postérieur, il fut rapidement complètement réveillé et partout

Bonjour mademoiselle ! Excusez-moi, où suis-je ? Qu'est-ce que je fais là ? Et pouquoi y'a t'il une telle odeur de confiture dans cette pièce ?

hello j'adore l'idee des je j'ai un peu plus de temps je m'incrusterai....

Zoran arriva devant la villa à Armand Bondrard..Dans le jardin une petite fille assise au bord de la piscine,mangeait une tartelette à la fraise..

-salut toi...

Tu connais M. Bondrard.................Armand Bondrard?

la fille avait l'air tellement ébahie qu'il se dit qu'elle avait du sacrément abusé des pillules roses et décida de l'emener à l'hôpital.....

Ce n'est pas l'odeur de confiture en fait, se dit le chauffeur alité, inconscient d'avoir un emplâtre de confiture à la groseille sur le nez, ça sent la tartellette à la fraise. Mon dieu, comme j'ai envie de manger une tartellette à la fraise... mademoiselle, excusez-moi, vous serait-il possible de m'apporter une tartelette à la fraise ?

Zoran ne comprend plus rien à cette histoire.

Quelqu'un peut faire un résumé svp.?

hihihi?

Mademoiselle ?

Désolée, Monsieur, il ne reste que des tartes aux prunes...

Ah ? Mais d'oû vient cette odeur de fraise alors ? Et que'est-ce que je fais ici ? Ou est passée Salimata ?

Cette odeur de fraise ? Mais je ne sens rien... Salimata est passée, mais elle est repartie il y a environ une heure, elle devait rejoindre un certain Raoul.

Qu'est-ce que vous avez dit ?!? Raoul ? Mais elle va se faire tuer. Vite, evnez avec moi, il faut absolument la retrouver dit l'homme en se levant de son lit avant de courir dans le corridors, l'infirmière par la main.

"Mais vous êtes fou !
Raoul verse des sommes importantes à la fondation de cet hôpital ! Nous le considérons comme un bienfaiteur !"
répondit l'infirmière en essayant de lui tordre le poignet.

salimata qui s'etait souvenue de l'education donnee par sa mere mercedes "avant de faire une farce a ton voisin, verifie si il n'y aurait pas une vie a sauver dans le voisinage, par hasard " (mais tout ca en espagnol, bien sur) avait passe deposer armand bondrad encore evanoui, chez les marabouts de son arrondissement qui lorsqu'ils n'etaient pas bourres produisaient des miracles,
puis comme comme elle etait de toute facon dans le quartier, elle en avait profiter faire pipi a l'hopital dont elle trouvait la deco des toilettes ma-gni-fi-que.
a la cafeteria elle avait mange un mille-feuille et bu un grand deca creme.

et sur un coup de fil des services secrets du lichtenstein, elle avait pris de suite la route de siviriez ... ca tombait bien, elle en profiterait pour aller faire un saut a saxon, histoire de lecher un peu les vitrines a bahuts de descartes

elle se dirigeait maintenant vers le periphe pour quitter paris ... toujours au volant du bahut fribourgeois

Le chauffeur se libéra de l'emprise de l'infirmière visiblement vendue aux intérêts financiers de son employeur, contre toute morale, et s'élança dans la rue vétu de sa seule chemise du nuit, échappant à la vigilence des gardiens. Les fesses à l'air dans sa camisole bleu ciel, il se dirigea vers un taxi stationné devant les urgences.
"l'ambassade du Lichtenstein, en vitesse" cria t'il au chauffeur, qui avait un air familier.